Lafayette Story

Deux jours, 5 articles, 19 commentaires, je crois que j'y suis déja dedans, karim est venu me saluer avec une air cahant une certaine joulousie avec un peu d'english :"Même moi j'ai pas eu ce tas de productivité penadnt 2 ans de blogging", en faite je lui dois beacoup, entre autre la gestion technique du blog, car mes conaiscances en informatique ne dépassent pas celle d'une sécrétaire qui sait taper, encore merci, mais je suis le plus fort : va prendre ta retraite vieux fonctionnaire :)

Le relief démographique ici diffère nettement, il ne s'agit pas d'un dénombrement basé sur les races ou les couleurs, mais surtout les fonctions.

A 7h du matin, en dégustant mon cappucino au café Lord (Rue de Pakistan), la clintèle est celle qu'on peut espèrer a une heure si matinale, puisque les fonctionnaires ne commencent a frotter les yeux a 8h passée, Ce sont des filles assez étranges qui s'assoient sur des tables ou un café repose a coté d'un paquet de cigarettes, les yeux a peine ouvertes, les paupières bleuatres et gonflées, les lèvres incendiées de rouge qui n'arrive pas a repousser les éffets du tabac, retournées contre le mur comme une sorte de d'auto-punition pour les péchers de la soirée : Vous pouvez deviner ce qu'elles font, eh oui... désolation contemporaine, dégout moderne , ...

Hier soir elles faisaient de leur corps le festin que celui qui détient le porte feuille, elle font commerce non pas seulement de leur corps, mais aussi de leurs âmes, puisque les consomateurs veulent des filles avec une sociabilité dynamique à remedier a leur manque excessif d'affection, ou a l'imperfection de leur conjointes. Boff... Tout ca n'est fait pas partie du l'ordre du jour, revenions a nos pouppées en péluche.

Assises contre mur, muettes mais expressif ammenant a terme un trasition entre une taffe de cigarette et un café plein de mousses, ces "mademoiselles" ne commencent pas leur jouréne mais tout au contraire, ils entamment leur journée de dur labeur, bien que l'horaire diffère du pointage administratif, ils font leur 36 heuresn et même des heures supp.

Murmurant entre-elles, j'ai rien pu entendre de leur discussion d'ouvriers miniers, mais je crois que je sais déja de quoi il s'agit, c'est surment l'échange des faits de la soirée, combien a-t-elle eu de clients, combien elle a encaissée aujourd'hui et ou elle comptes aller demain pour receuillir des meilleurs clients.

Elles changeant toutes les saisons, elles viennent de partout, elles sont toutes le mêmes, a les voires, tu pourra sûrement y distinguer un fil d'infidèlité meurtrière et un empêchement a toute culture qui peut leur rappeler qu'elle sont un tas de néant que même les camions d'hygiène réfusent de ramasser.

Elles vivent la même, et ici ils y'en a plein, elles vivent la nuit, disposent le jour, des vampires qui sucent les branleurs et picoleurs d'ici et de la, mais en faite elles sont les victimes de leur propre sort vilain...

Parfois, elles me font pitié chaque matin que je les croisent dans un café ou dans les ruelles sombres qui mênnent a leurs appartmement de misère, puisque je rtourne la face et je commence le dégout, en faite elles sont assez conscientes... Mais peut on vraiment plaider coupable un Zombie ou singlé ?

Lafayette Story, c'est pas ce que je ne m'en souviens plus... mais rappelez moi comment la vie est belle ?

Hey, Juste pour l'info : Il s'agit de koi là ? J'ai du comprendre mal le bloggage, on m'a reporté que blogger n'est très sociable comme dévotion et que les bloggeirs vivent en parté, et c'estpour cela qu'ils se mettent tout le temps a taper sur leurs calvier pour remedier a ce manque terribel d'affection, Si j'ai tort montrez-moi le contre exemple !

Cette chanson m'a tellment plu, alors j'ai décidé de la partager avec vous :

Ce matin, j'imagine un dessin sans nuage
Avec quelques couleurs, comme vient mon pinceau
Du bleu, du rouge, je me sens sage comme une image
Avec quelques maisons et quelques animaux
Ce matin, j'imagine un pays sans nuage
Où tous les perroquets ne vivent plus en cage
Des jaunes, des verts, des blancs, je mets ce qui me plait
Car c'est comme ca que j'imagine un monde parfait

Un oiseau, un enfant, une chèvre
Le bleu du ciel, un beau sourire du bout des lèvres
Un crocodile, une vache, du soleil
Et ce soir, je m'endors au pays des merveilles
Un oiseau, un crayon, une chèvre
Le bleu du ciel, un peu de sucre, un peu de sel
Un crocodile, quelques fleurs, une abeille
Et ce soir, je m'endors au pays des merveilles

Non, il ne s'agit pas des terres occupées, mais de l'avenue démoniaque, et pourqu'oi ? pour la simple raison que c'est une ruelle qui mêne diretement a un embarras en surplus d'un stress continental, et comment ?

D'abord geographiquement l'avenue de Palastine subrodonne le passage (Arrêt du métro) pour arriver jusqu'au dela de la ERTT (entreprise de la Télivision et Radio Tunisienne), et qu'est ce qu'il ya dedans ? deux quais et l'instant majeur d'une ciruclation moni-étouffé par le nombre miilénaire des piétons et voitures, tous en pseudo-concetration, silence pacifique et un dégout interne cachée sous un faux sourire publicitaire.

Tous ces gens ne font pas l'avneue mais ceux eux qui l'usage en fait parafait attention de prendre cette rue que prendre une autre, l'envie est traverser une rue ou "on voit tout le monde, et le tout le monde nous voit" fait illusion a une quasi-totalité de pragmatisme, bien sur la rue n'est authentiqument un monument historique n'est un payasage harmonique, mais son charme est bien plusqu'une montée en douce vers Champion ou ailleurs.

Je sais que c'est mois le vrai dans l'histoire, je dévoues a moi-même cette histoire, mais je haie les gens qui passent par la sous mon balcon avec ce regard vide et mal-attentionné, est-ce que marcher dans la ville est un signe de mobilité ou un expression figée a faire ses obligations ?

En tout cas, je vous pris de bien respecter tout rue confondue avec vos intérets, essayer d'aimer les endroits d'ou vous passez les plus souvent, soyez pas con..sommateur d'une image sans retouche artistique exigez votre droit a la beauté, cherchez et cherchez encore : vous alllez surement vous plaire.

Un quartier ? non, une série de ruelles au conditionnement moderne ? non ,une cité figée dans une autre citée ? non, non et non

Il est difficile de donner une représentayion exacte de ce féminin, comme par hasard tout féminin est hontée d'énigmes, mais ausi de détresse continue, je suis en pertuel pélrinage vers une définition, si ca peut les francais ont peut être la clé puisque c'est un quartier a l'originie batti pendant l'occupation francaise.

Pour ne pas vous donne l'air que je parle d'une venise qui surmonte une surface quatique, disons que lafayyete est un navire immobile charmée par la petite ville de Tunis, bien qu'il est partie intégrante du folklore comptenporain, c'est l'un des plus vieux signes d'une modernité implantée au coeur des verdures urbaines, une sorte de mommification de l'histoire tant qu'elle garde la même robe depuis sa dernière soirée au bal ...

Salut, mon nom est Belgacem j'habite lafayette et je passes mon bac cette année, après une grande dévotion aux blogs via la vision féline de Mouse Hunter (Karim est mon voisin), j'ai décidé moi aussi de lancer mon propre blog duquel je vais vous ouvrir une fenètre sur la vie a lafayette, une aventure que je présume agréable vu le nombre des couleurs qui formulent cette toile magique.

Karim m'a poussé dans l'eau, et ainsi je devrais penser a blogger, en faite je ne penses qu'a ca, la magie des blogs et fortement liée a une mutation de la vie en texte expresif, parfois on est incapable dans certaines situations d'avouer le dégout, dnoncer le mensonge ou de dire même un non a une invitation a un café pourri.

Enfin, je ne vous promets pas grand chose, mais qu'est que vous vous attendez d'un bizwish qui passe son temps sur édifices d'une cité ou règne le doute. Mais ca sera surement a vous de juger de mon éfficaité en tant que bloggeur ou marchand de brebis.